L’énigme commence au début des années 2010 lorsqu’Abul Mogard, qui se présente alors comme un ouvrier serbe retraité, nous ouvre les portes d’un univers ambient aux prises avec le sublime avec son premier EP éponyme. Depuis, le voile a été levé sur son identité, mais la magie reste intacte. Synthétiseurs, claviers, effets, et paysages visuels composés par l’artiste Maja de Sanctis, font que chacune de ses sorties se vit comme un voyage intérieur — à travers des mondes texturisés, méditatifs et profondément émotionnels.