A day to bring together the electronic scenes of these two countries, connect the struggles from Kyiv to Tbilisi, and highlight the importance of solidarity movements from West to East across the European continent.

Subjected to Russian imperialism — most notably exemplified by the full-scale invasion of Ukraine in February 2024 and the annexation of 20% of Georgia in 2008 — the Georgian and Ukrainian electronic scenes share a common desire for emancipation. The clubs and cultural structures in both countries offer spaces for gathering and mobilization through their activities and projects. When part of Georgian youth chanted "We Dance Together, We Fight Together" in 2018, as Tbilisi clubs were raided by police and temporarily shut down, that same slogan resonates anew in light of the ongoing war in Ukraine and increasingly blatant Russian interference in Georgia.

Une journée pour réunir les scènes électroniques de ces deux pays, connecter les luttes de Kyiv à Tbilissi et rappeler l’importance des mouvements de solidarité de l'Ouest à l'Est du continent européen.

Soumises à un impérialisme russe qui s’est notamment illustré par l’invasion à grande échelle de l’Ukraine en février en 2024 et par l’annexion de 20% de la Géorgie en 2008, les scènes électroniques géorgiennes et ukrainiennes partagent un même désir d’émancipation. Les clubs et structures du secteur culturel des deux pays offrent à travers leurs activités et projets des espaces de rencontre et de mobilisation pour leurs communautés. Alors qu’une partie de la jeunesse géorgienne scandait ‘We Dance Together, We Fight Together’ en 2018, lorsque des clubs de Tbilissi subirent des raids de la police ayant conduit à leur fermeture temporaire, ce même slogan peut être réactualisé à l’aune de la guerre en cours en Ukraine et des ingérences russes de plus en plus marquées en Géorgie.